Portrait
Mélanie

Hello Mélanie, peux-tu nous en dire un peu plus sur toi ?

J’ai 25 ans. Je suis née à Bruxelles mais j’habite actuellement à Bassècles. J’écoute énormément de musique. Je lis beaucoup aussi. Sinon, j’aime aussi aller au cinéma et faire des soirées entre potes.

Au niveau de mon parcours académique, j’ai suivi des études d’arts plastiques à l’Académie des Beaux-Arts. J’ai terminé cette formation en 2015.

Comment as-tu connu le milieu de l’événementiel ? Est-ce dans ce domaine que tu voulais initialement te développer ?

Je connaissais déjà un peu le milieu de l’événementiel mais j’ai commencé à travailler en tant que stagehand un peu par hasard. Un ami, qui travaillait déjà chez Step in Live, m’a parlé du secteur et des différents jobs liés à celui-ci. Je cherchais du boulot, j’ai donc postulé chez Step in Live en 2015. Je voulais m’essayer au boulot de stagehand. Le job et le secteur m’ont directement plu, du coup, j’ai continué. Je trace ma route et trouve doucement ma place.

Avant cela, j’ai envisagé devenir éducatrice spécialisée. Au final, je ressentais le besoin d’évoluer dans un job plus manuel.

Peux-tu nous en dire un peu plus sur ton expérience dans le secteur ?

J’ai débuté en novembre 2015. Je travaille principalement sur des productions de concerts qui se déroulent à Forest National et au Palais 12. Je commence vraiment à bien les connaître ces salles. C’est toujours pratique de savoir exactement où tout se trouve et comment les salles fonctionnent. Les tâches sont ainsi mieux effectuées.

Je travaille aussi pas mal sur des transformations de scène. J’aime bien ce secteur. En général, les équipes sont plus réduites sur les transfos, 3 ou 4 personnes.  Du coup, on est vraiment maître de nos actes et plus responsable. On en apprend énormément sur le milieu pendant les transfos. C’est une tout autre facette du job.

Jusqu’à présent, j’ai eu la chance de travailler sur quelques festivals. Principalement sur les montages et les démontages. J’aimerais bien voir ce que cela donne de travailler pendant le déroulement d’un festival.

Qu’apprécies-tu particulièrement dans ton job ?

L’ambiance générale est bonne. Il n’y a pas de monotonie aussi. On utilise souvent le même matériel, pourtant, aucune production ne se ressemble, aucune salle ne se ressemble, aucune journée, aucune nuit. Le résultat est toujours là aussi. Parfois, des difficultés surviennent, mais on arrive toujours à faire du bon boulot.

On apprend de nouvelles choses tout le temps. Les plus anciens n’hésitent pas à donner leurs trucs et astuces. Je suis demandeuse. Les conseils sont toujours bons à prendre.

Peux-tu nous raconter un événement marquant dans ton parcours ?

Le montage/démontage du concert de Lady Gaga était assez impressionnant. Chaque concert est différent, c’est donc difficile de citer un événement marquant. Les productions américaines sont en général vraiment incroyables. Tout le matériel, comme les lights par exemple, est déjà plus ou moins disposé. Il faut tout de même encore tout mettre en place et tout monter.